Mon top 100 libraires : Librairie Cayzac à Marvejols

Roger Cayzac dans sa librairie papeterie de Marvejols
Dans la jolie « ville royale » de Marvejols, en Gévaudan, aux portes de l’Aubrac et de la Margeride, à proximité du Tarn et des Causses, entrez dans la Librairie Papeterie de Roger Cayzac… Elle se situe 17 rue Jean Roujon, 48100 Marvajols (Lozère).             
 L’accueil y est chaleureux et votre libraire, toujours disponible, vous conseillera efficacement. Il a une expertise certaine dans le métier qu’il exerce dans cette Librairie Papeterie depuis 1976, profitez-en !
 
Il s’agit d’une librairie généraliste existant depuis 1956 et possédant plus de 5000 références. Vous y trouverez : de la littérature générale, des livres jeunesse, des articles parascolaires, bandes dessinées mais aussi un fond régionaliste qui vaut le détour !
 
Un très grand choix de livres donc mais aussi de fournitures… (cf la photo), vous trouverez sûrement ce dont vous avez besoin à l’aide de ce professionnel aguerri.
 
Vous avez besoin d’un livre spécifique ? Pas de souci, Roger Cayzac vous le commande…
 
Et bien sûr, au rayon jeunesse, à côté des mangas et des livres de SF/Fantasy, n’oubliez pas de feuilleter Farid, la Trilogie pour vos enfants de 9 à 14 ans : ils adorent cette trilogie aventure pleine de suspense 🙂 !
 
Roger Cayzac anime au salon des Feuilles d’automne de Marvejols qui a lieu chaque année dans cette ville historique, le rayon policiers et thrillers. Dans sa boutique, vous trouverez bien sûr, In manus tuas Domine…,  mon thriller religieux.
 
Enfin, votre libraire vend également mon Recueil de (Bonnes) Nouvelles paru tout récemment : une lecture détente/évasion où la romance se mêle au suspense.
 
Alors, me direz-vous, quand puis-je me précipiter dans cette belle boutique qui donne envie de lire et d’écrire  que l’on ait 4 ou 99 ans ? 
 
Et bien,  la Librairie Papeterie Cayzac est ouverte du lundi au samedi de 8h à 12h et dès 14h jusqu’à 19 heures (l’hiver fermeture  le lundi). Ces larges plages horaires ne vous laissent aucune excuse pour ne pas y rentrer 🙂 !
Besoin d’un renseignement, ou d’une commande ? Roger Cayzac vous répond au 04.66.32.09.87
 
La Librairie Papeterie Cayzac  fait donc partie de mon « top 100 libraires » et c’est elle qui inaugure cette nouvelle rubrique que j’alimenterai régulièrement. Merci encore à Roger pour sa disponibilité et son professionnalisme !
 

Vendre ou acheter des livres : soutenir les librairies

Acheter un livre en librairie
 



Nombre « d’éditeurs en ligne », d’auteurs se lancent dans la vente sur internet. Amazon reste incontournable avec Fnac.com, chapitre.com etc. Amazon, incontournable mais les employés d’Amazon, dans quelles conditions travaillent-ils ? question à creuser sérieusement…
On ne compte plus les articles de blog qui vous expliquent comment mettre vos écrits en vente sur Kindle, et comment publier des « e-book »…
Pourtant, certains continuent de publier des livres PAPIERS !! et ou d’en lire.
Alors acheter les livres sur internet ou en librairie ?
Pour moi, il reste incontournable, si l’on veut soutenir cette profession bien sinistrée par la concurrence des grandes surfaces spécialisées ou le net,  de privilégier l’achat chez son ou sa libraire préféré(e). Sinon, ces boutiques disparaitront petit-à-petit (certaines l’ont déjà fait…)
Entrez dans une librairie…
Des rayons de livres à gauche, des rayons de livres à droite : ses friandises pour l’esprit vous attirent. L’odeur particulière du papier, le rayon papeterie qui vous rappelle votre enfance, toutes ces étagères pleines de livres rangés par style…

  • Vous feuilletez une biographie

  • Vous épluchez le sommaire d’un livre de développement personnel

  • Vous admirez Mathieu Ricard si souriant sur une couverture

  • Vous relisez un poème de Baudelaire dans un poche : vous l’aviez appris en troisième !

  • Vous hésitez entre deux livres pour votre fille de 8 ans : aimera-t-elle ?

  • Vous craquez pour un thriller qui vient de sortir…

Bref, voilà plus d’une demi-heure que vous êtes rentré(e) dans cette boutique… La ou le libraire vous laisse tranquille, il sait que vous avez besoin de ce long tête à tête avec tous ces ouvrages. Il vous connait : ne surtout pas vous déranger, vous aimez choisir seul(e).
D’ailleurs, il ou elle est occupé(e) avec une cliente qui n’a pas votre appétit livresque et qui demande de l’aide pour choisir un cadeau d’anniversaire pour une amie « qui aime bien bouquiner« .
Un bon libraire ?
Celle ou celui qui ne se contente pas de mettre en rayon les sélections toutes faites qu’on lui livre mais :

  • Qui trouve le temps de dénicher pour ses clients, qu’il ou elle connait bien, des nouveautés, des livres un peu différents.

  • Qui adore lire et vous indiquer ses coups de cœur

  • Qui semble toujours passionné(e) après tant d’années (enfin pour certains car il a y de jeunes libraires 🙂 !)

  • Qui a toujours un auteur autoédité ou autre qui signe ses ouvrages sur une table à l’entrée le samedi.

  • Qui retire certaines sélections qui ne lui plaisent pas même s’il pourrait faire du chiffre avec

  • Qui a une ligne de conduite et qui s’y tient

  • Qui adore discuter avec ses clients et qui en oubli parfois de faire sa comptabilité…

  • et surtout : Qui est sympa comme tout 🙂 !

  • Qui traite correctement son personnel s’il en a et qui cherche toujours de nouvelles idées..

Et pour l’auteure que je suis, bien distribuée par Sodis mais qui doit faire connaitre ses publications directement :
C’est un ou une libraire qui ne me renvoie pas immédiatement en me disant : vous savez on reçoit des livres tous les jours !!  : oui, et bien c’est aussi un peu votre métier !
Ou qui prend poliment la référence de vos ouvrages sur un post-it qui part directement à la poubelle dès que vous avez tourné les talons.
Mais un libraire curieux de l’auteur, de ce qu’il ou elle écrit, qui considère  » l’objet livre » non pas comme un produit que l’on va vendre comme des chaussettes ou des caramels mais bien « un objet qui a une âme » que l’on a plaisir à découvrir pour se faire son opinion et pouvoir donner son avis.
 
Je vais lancer très bientôt sur ce blog mon « Top 100 des libraires », je ferai un article pour chacune ou chacun et vous le devinez bien, ce seront des libraires qui auront  dans le rayon jeunesse Farid, la Trilogie ,dans le rayon « thriller » ou « religieux »  In manus tuas Domine… et dans le rayon « nouvelles » Recueil de (Bonnes) Nouvelles 🙂 !
 
Si vous voulez être de ceux-là, n’hésitez pas à me contacter !  et Vive les libraires !

Parution de mon Recueil de (Bonnes) Nouvelles

 
Recueil de 8 Nouvelles

Voici le deuxième livre paru en mai 2014 chez BoD Editeur, 240 pages.
 

  • Vous pouvez le commander dès maintenant : Amazon, Fnac.com, Chapitre.com etc.

  • ou dans votre librairie préférée. Distribué en Librairie par Sodis, il est très facile à commander pour les libraires.

Et la quatrième de couverture pour vous en dire un peu plus :
 
 
 
 
Quatrième de couverture Recueil de (Bonnes) Nouvelles
 



BONNE LECTURE !

www.facebook.com/recueildebonnesnouvelles

Parution du livre FARID, LA TRILOGIE

Livre Aventures 9-14 ans FARID, La Trilogie
 

Nous y sommes  ! le livre FARID, LA TRILOGIE,  aux éditions BoD, est maintenant disponible et bien référencé :

 
 Amazon, Fnac.com , Chapitre.com etc.. sur Internet
 
et  sur la base DILICOM pour les libraires qui se le feront livrer par SODIS.
 
Envie de faire plaisir à vos enfants, neveux, nièces ?  ami(e)s pour les anniversaires ou autres occasions…?  C’est donc possible à partir d’aujourd’hui 🙂 !
 
Je tiens vraiment  à remercier  toutes les personnes qui m’ont aidé dans la réalisation du projet : conseils, relectures  avisées, couverture…
 
Merci aussi à tous les enfants lecteurs 🙂 ! aux « Fans » des trois tomes des Farid parus en 2009. C’est grâce à leur enthousiasme que la réédition sous cette forme voit le jour !
 
Merci au « panel » d’enfants qui a validé la couverture : C’est sûr, elle leur plaît 🙂 !
 
Voici la quatrième de couverture pour avoir un avant-goût de l’intrigue :
 

Quatrième de couverture FARID, La Trilogie
 
J’ai reçu l’exemplaire papier : superbe finition, rien à dire, comme d’habitude l’Editeur BoD assure ! Avec un papier issu de sources responsables, ce qui ne gâte rien, en 90gr, c’est du solide ! Pour un livre pour enfants et pré-ados, c’est important 🙂 !
 
Pour ceux qui sont sur Facebook, voici la page du livre :
 
 
N’hésitez pas à « Liker », Farid vous en sera reconnaissant 🙂 !
 
Sinon, vous pouvez aussi partager cet article en cliquant sur un des boutons ci-dessous :
 

 BONNE LECTURE !


Le Recueil de (Bonnes) Nouvelles : sortie annoncée !

Voici la couverture, le livre est en fabrication chez l’imprimeur, il fait  240 pages et compte huit récits. Encore quelques jours et il pourra être commandé en librairie ou sur internet…
Juste à temps pour les vacances 🙂 !
Merci à toutes et tous ceux qui ont donné leur avis pour la couverture ! et aussi des suggestions : le résultat me plait bien : ce bleu lavande reflète son contenu…

Ecrire un livre, un Roman : le fond




entrez en soi-même…

         Nous avons parlé de la forme du roman dans des articles précédents mais il faut maintenant se pencher sur le fond :

 

Ecrire un livre, un roman : oui, mais sur quoi ?

 
          Avant de déterminer ce que vous voulez écrire, il parait déjà important de se poser la question de savoir  : Pourquoi voulez-vous le faire ?
 

  • Laisser un trace, donner un témoignage

  • Gagner de l’argent

  • Faire rêver vos enfants en leur racontant des histoires

  • Mettre en forme une histoire que vous  avez inventée

  • Vous lancer un défi

  • Donner du bonheur à vos lecteurs

  • Expliquer vos idées, développer vos théories ou opinions

  • Se dire : je suis écrivain !

 
           Il y a tellement de motivations différentes mais certaines seront les plus convaincantes. Je ne pense pas que la motivation de « gagner de l’argent » seule pourra vous permettre de mener à bien la rédaction d’un livre. Mieux vaut embaucher un nègre qui a une belle plume… 🙂
 
         Mais si la nécessité intérieure que vous sentez vous pousse à vous écrire, alors foncez !
 
Ecrire quoi ?
 
Après les genres de livres sont si divers si nous nous en arrêtons à la fiction, vous pouvez écrire :
 

  • Un roman policier

  • Un roman historique

  • Un roman sentimental

  • Un roman psychologique

  • Un roman philosophique

  • Un roman fantastique..

  • Un roman auto-biographique

  • Un roman d’aventures

  • etc.

Et encore, vous pouvez mélanger les genres, ce qui revient à une infinité de possibilité…!
 
         C’est vous et vous seul(e) qui savez ce que vous voulez faire, vous êtes la ou le seul(e) maitre à bord de votre page blanche ou de votre écran. L’idée, le genre, l’intrigue, les personnages : ce sont les vôtres ! Faites-vous confiance !
 
Un mot après l’autre :
 
          L’important est donc de s’y mettre sans attendre. Mais pourquoi tant de  personnes s’arrêtent très vite, commencent un ouvrage et ne le terminent jamais ?
 
          Il faut donc allier le plaisir de l’écriture avec la discipline de la régularité. Lorsque l’on lit ou entend le témoignage d’écrivains célèbres, on s’aperçoit qu’ils écrivaient régulièrement et nombre d’entre eux, tous les jours. Comme une artiste qui brode une étoffe sous la lampe tous les soirs, comme le jardinier qui tourne et retourne la terre, un écrivain travaille ses mots, son histoire, son roman.
 
Ecrire tous les jours :
 
            Sans vous juger mais en tirant le fil. Mais l’écriture n’est pas seulement l’acte d' »écrire« , c’est l’imagination, qui travaille tout au long du jour et de la nuit qui va vous permettre de poursuivre. Il ne faut pas croire, à part pour de rares exceptions (Amélie Nothomb ?) que les mots arriveront quand vous voudrez qu’ils arrivent à l’heure que vous avez décidée. Votre histoire, votre roman se construira surtout pendant que vous n’écrirez pas. En balade dans la forêt, dans le métro, en attendant votre tour chez le boucher, que sais-je ?
Vous ferez vivre vos personnages, vous vous inquiéterez pour eux, aurez des idées en regardant une scène de rue, en surprenant un regard ou une conversation. Autrement dit, vous vivrez votre livre avant de l’écrire.
 
          Certains recommandent de faire des fiches pour chaque personnage, des plans détaillés… D’autres, au contraire, se lancent sans filet, chacun mène son écriture à bien selon son caractère et sa manière d’être.
 
          Pour moi, je préfère de loin le plaisir de la découverte et même si j’ai une idée de ce que va devenir l’histoire, je ne fais pas de plan ou très peu. Il m’arrive quand même d’établir succinctement quelques séquences ou de faire des « arbres de personnages » quand il y en a trop et que je ne peux pas me repérer mentalement sans cette aide. Sinon, je pilote à vue, découvrant le paysage toujours nouveau.

         Et vous, comment faites-vous  ? Sur quoi écrivez-vous ?
 
 

Comment corriger son livre avant publication

 Envoi à un Editeur, auto-publication : il vous faut un texte impeccable !
 
 Utilisez-vous un logiciel de correction pour l’orthographe et la grammaire ?
 

 

Avant même de faire relire son tapuscrit, il peut être utile, surtout si l’on n’est pas très doué en orthographe, d’utiliser un logiciel, plus performant que le simple correcteur de notre traitement de texte.


Mais lequel choisir ?
 
Il y a le choix sur le marché : Antiditote, Cordial, Prolexis…
Des articles comparants leurs performances sont disponibles sur clubic ou commentcamarche ou encore des blogs indépendants.
 
Pour moi, après avoir étudié un peu le marché, j’ai opté pour un logiciel peu onéreux mais qui semble assez performant pour mon usage, non-professionnel (je ne suis pas correctrice pro).
Il s’agit du « Petit Prolexis » (à  ne pas confondre avec Prolexis qui est beaucoup plus cher).
 
Le Petit Prolexis a une version de démonstration gratuite pendant un mois (ce que je n’ai pas retrouvé chez les autres) et ne coûte que 60 euros.
 
Mon choix est tactique, d’autres logiciels sont beaucoup plus détaillés et on peut se perdre dans les corrections, ils peuvent surligner énormément de mots, proposer des choix multiples …  Cela devient vite très chronophage.
 
Le Petit Prolexis n’est pas parfait du tout :
 

  • Il manque de vocabulaire (j’utilise pourtant des mots simples dans mon écriture mais régulièrement j’ai une remarque comme quoi ce mot n’est pas très utilisé.. !). Il ne connait pas des appréciations usuelles (SAMU, CAF …) et n’aime pas les noms de famille et les prénoms peu courants et les mots un peu rares.

  • Il oublie un nombre certain de fautes d’accords (COD avant par exemple) bien qu’il en repère pas mal.

  • Il ne voit pas non plus l’oubli d’un mot ou une faute de lettre (de au lieu de ce par exemple)

  • Il m’énerve parfois avec ses remarques sur la réforme de l’orthographe en 1990 : par exemple, il ne souhaite pas que je marque évènement mais événement, ce que je ne lui accorde pas : la première manière d’écrire est pour moi la bonne

Mais, côté positif :
 

  • Il est très facile d’utilisation avec sa fenêtre qui s’ouvre indépendamment du texte

  • Il repère très bien tout ce qui est typographique (espace en trop ou en moins) 

  • Il corrige quand même pas mal de coquilles (quand il connait le mot, ce qui arrive quand même la plupart du temps, il va systématiquement proposer une correction)

  • je me sers aussi pas mal des fonctions annexes : pour un mot, on va avoir les synonymes et les antonymes, pour les verbes la conjugaison, il explique les fautes qu’il comprend en rappelant la règle systématiquement.

  • Il est discret et permet de le lancer quand on le souhaite

Bref, ne surtout pas penser que le texte, passé à la moulinette du Petit Prolexis, est sans faute mais quand même j’estime à environ 50% du travail de correction fait avec ce logiciel (estimation tout à fait personnelle 🙂 c’est déjà énorme !
 
 Remarque importante : toujours vérifier les corrections qu’il propose, ne jamais avoir une confiance aveugle ! (mais cela vaut pour tous les correcteurs)
 
Après, il ne reste plus que l’œil humain, la relecture attentive par quelqu’un qui connait bien les règles de notre belle langue française.
Plus l’on écrit et plus l’on arrive, en relisant attentivement son texte à corriger soi-même nombre de coquilles, on connait ses travers !
Le petit conseil qui marche bien c’est de relire à voix haute une fois (les mots oubliés ne pourront vous échapper). Et de relire au moins trois fois le texte en laissant du temps entre chaque relecture.  Profitez également de chaque faute pour bien se réapproprier la règle qui nous a échappés ou l’orthographe d’un mot que l’on  ne connaissait pas ou plus
 
Je précise pour terminer que je ne suis pas du tout sponsorisée par le Petit Prolexis 🙂 (je sais que des blogueurs écrivent pour le compte de marques, ce n’est pas mon cas).
 
 
Bonnes corrections et surtout  : ouvrez l’œil 🙂 !
 
 

Sorties de la Trilogie Farid et d’un Recueil de Nouvelles : c’est pour bientôt !



Les rentrées littéraires se font habituellement en septembre ou en janvier pour les livres parus chez des éditeurs traditionnels.

 Pour ma modeste littérature, ce sera dès que possible, car vous pourrez ainsi commander deux livres pour occuper agréablement vos vacances :

La Trilogie des « Farid » pour vos enfants de 9-14 ans (ou les neveux, nièces, amis…).

– Un Recueil de Nouvelles pour les adultes ou les jeunes qui aiment la romance.

Autant vous avez déjà pas mal d’informations sur les aventures de Farid sur ce blog puisqu’il s’agit d’une ré-édition, autant le Recueil de Nouvelles est inédit.

Il s’agit d’histoires simples et que j’ai voulu belles, de personnages auxquels l’on peut toutes et tous s’identifier…

 J’écris essentiellement dans le temps présent, mes personnages et les situations sont d’aujourd’hui. Impossible pour moi d’écrire dans le passé ni dans le futur…

J’ai expérimenté ce genre « romance » sous forme de nouvelles en écrivant toute l’année 2013 sur ce thème.

Loin du style « Harlequin », il s’agit, en général, d’ un mélange d’intrigues presque policières avec une histoire d’amour, d’amitié, de famille… Rien de « gnan gnan » donc mais une écriture personnelle qui mélange les styles, comme à mon habitude. Pas de « pathos », mais souvent des histoires toniques et positives.


Alors encore un petit peu de patience, les derniers détails pour les corrections et couvertures sont entrain d’être réglés…

Avant de pouvoir importer ces deux livres
 à la plage…
 ou dans votre valise pour un séjour à la campagne…
 ou à la montagne…
Mais vous pourrez très bien les lire sur votre canapé
dans votre lit,
confortablement installé(e) dans votre jardin,
ou sur votre balcon…

Bref… goûter au plaisir délicieux de la lecture… dans le cadre que l’on préfère…

Le compte à rebours est donc lancé ! Jour « J » moins …. ? Suivez ce blog et vous ne manquerez pas d’être la ou le premier informé(e) 🙂



Ternoise, l’écrivain incompris : le fond ou la forme ?



Ecrire pour les autres : Soigner le fond ou la forme ?

Je ne sais si vous avez déjà été sur une des très nombreuses pages du site de Stéphane Ternoise. Quand on s’intéresse à l’autoédition et que l’on cherche des infos sur Google on tombe forcément un jour ou l’autre sur son site.  Ternoise a une manière bien à lui de « pratiquer » internet : il y écrit, s’y référence, y vend mais ne soigne absolument pas la forme. Il faut écarquiller les yeux, (une police très petite) et on ne comprend absolument pas comment les pages sont agencées, les couvertures de ses livres semblent très originales et personnelles.

Et, cerise sur le gâteau dans les FAQ, on trouve une question genre : Vous ne pourriez pas faire un effort sur la présentation ?
et la réponse : je suis écrivain, pas webmaster, je n’ai pas de temps à passer là-dessus car mon temps est dédié à l’écriture…
Quoique, je viens de m’y rendre pour mettre le lien et j’ai l’impression que les choses se sont structurées et arrangées un peu 🙂 !
 
Amusant et décalé aussi le fait qu’il parle souvent de lui à la troisième personne… Ternoise, si tu me lis :)! un salut amical à toi !
 
N’ayant pas lu ses livres, je n’ai aucune opinion valable sur le fond de ses écrits. Simplement, je pensais à lui pour lancer cette réflexion sur la forme et le fond dans l’écriture. Nous traiterons uniquement la forme dans cet article.
 
Il est certain (sondage à l’appui) que les personnes vont acheter un livre au hasard parce que la couverture leur a plu (je crois que cela compte pour 50% dans l’acte d’achat) et que le résumé de la quatrième de couverture leur donne envie de le lire. Pour la littérature enfantine, c’est encore plus vrai.
 
Souvent, avant d’acheter un livre, un roman ou autre genre, on va le feuilleter un peu, lire le sommaire, glaner quelques lignes au hasard des pages. Il est certain que si l’on trouve une pagination approximative, une police très difficile à déchiffrer ou des fautes qui sautent aux yeux, on ne passera pas forcément à l’acte pour acheter.
 
Pour les blogs et le surf sur internet, nous sommes aussi très sensible  à l’agencement et à l’aspect général : les publicitaires l’ont bien compris qui placent leurs publicités aux endroits où la personne est la plus susceptible de porter son regard…
 
Autant dire que lorsque l’on écrit un livre et pour se donner le maximum de chance de plaire aux lecteurs sur la forme (nous verrons le fond dans un autre article) il y a quelques éléments indispensables :
 
– Utiliser une police d’écriture courante, que l’on trouve généralement dans la littérature (arial, times new roman, verdana…).
 
Se faire relire absolument : Même si l’on pense avoir une bonne orthographe et des logiciels de correction, cela n’est pas suffisant. J’avais lu quelque part qu’il faut 10 relecteurs différents pour éliminer toutes coquilles d’un texte. Sans aller jusque là, faire relire par une personne dont  c’est le métier (mais attention sur internet aux propositions  ! j’avais utilisé un jour les services d’un correcteur qui se révéla très incompétent…). Si on a les moyens, prendre une agence de relecture qui pratique la « triple correction », ce n’est pas forcément plus cher qu’une seule personne. C’est le mieux.
Mais, pour beaucoup, ce budget relecture est beaucoup trop lourd.
J’ai remarqué, à force de chercher des correcteurs, que des personnes qui avaient pratiquement toujours « zéro faute » en dictée dans leur jeunesse et qui avaient continué à lire ou à écrire étaient très compétentes. L’orthographe, cela doit être comme le vélo, cela ne se perd pas 🙂
 
– Pour les tournures grammaticales, les incorrections de style ou les mots à changer (répétitions etc.) il faut également que vos relecteurs ou vous-même les débusquent. (il existe aussi des logiciels pour les répétitions mais pas fiable à 100%).
 
Un écrit bien présenté, sans faute (ou pratiquement) dans un style lisible pourra être proposé avantageusement à un éditeur si vous souhaitez le faire.
 
Vous pourrez aussi l’éditer par vous-même en étant sûr(e) de vous.
 
Pour la couverture :
 
– Soit vous êtes un pro de l’infographie et vous la faites vous-même.. mais c’est rare…
 
 – Soit vous êtes édité(e) par un professionnel et celui-ci s’en chargera (avec souvent la déception de ne pas aimer la couverture soi-même…).
 
– Soit vous choisissez une proposition de couverture gratuite faite par un site d’édition en ligne ou autre.
 
– Soit vous payez les services d’un professionnel en lui donnant vos idées (il faut que la couverture plaise au public mais qu’elle vous plaise aussi 🙂 !
 
– Soit quelqu’un dans votre entourage amical ou familial a ce talent (attention quand même à le vérifier…).
 
Pour la quatrième de couverture, il convient également d’y passer du temps pour être sûr(e) qu’elle reflètera l’histoire et qu’elle sera attrayante.
 
Un petit truc que j’utilise moi-même pour les couvertures (que je fais concevoir en donnant moi-même le schéma)  : j’effectue des sondages sur une bonne vingtaine de personnes dans la cible des futurs lecteurs (qui sont souvent des lectrices:)! : Cela me donne des indications précieuses. Et en général, sur 6 ou 7 modèles différents proposés, une majorité désigne le modèle le plus tendance. J’aurai souvent été incapable de le percevoir moi-même.
 
En conclusion, la forme est essentielle dans le projet d’écriture, sans la forme, le fond ne sera , en général, pas compris, pas lu, pas aimé.
 
Nous verrons bientôt comment donner du fond à son écriture :)!

Comment publier votre livre ?

 
La question est souvent posée sur le net et des dizaines de sites vous proposent de vous aider, de vous donner des conseils ou de vous publier votre livre.
 
Nous parlons ici des livres « papiers » et non des e-books très faciles à publier sur internet.
Mais comment s’y retrouver ? cet article propose de vous donner quelques repères généraux sur l’édition.
1) Publier votre livre en auto-édition :
Cela veut dire que vous faites tout de A à Z :
-Vous écrivez votre livre,
– Vous  corrigez votre livre (ou faites corriger par un prestataire)
– Vous trouvez un imprimeur pour faire fabriquer les livres en X exemplaires et vous payez votre commande.
– Vous faites (ou  vous faites faire) la mise en page, la couverture, vous demandez vous même l’ISBN (numéro du livre pour son référencement).
– Vous vendez vos ouvrages en démarchant les libraires, en faisant des séances de dédicaces etc. En espérant en vendre assez pour rentrer au moins dans vos frais et au mieux vous faire de l’argent
Cela nécessite donc que vous ayez un statut (auto-entrepreneur ou autre) que vous teniez un minimum vos comptes, dépenses, recettes et que vous assumiez totalement la partie commerciale pour vendre vos livres.
Vous êtes donc écrivain mais vous êtes aussi la majeure partie de votre temps un « commerçant » avec tous les talents qui vont avec.
2) Publier votre livre à compte d’éditeur :
Vous écrivez votre livre
Vous cherchez ensuite un éditeur qui va se charger totalement de la fabrication et de la vente de vos ouvrages via un réseau de distribution en librairie ou par internet.
Cet éditeur pourra vous demander de « retravailler » votre livre, de changer le titre ou certains passages et bien sûr, vous lui céderez tous vos droits  en signant un contrat à compte d’éditeur en échange de droits d’auteur qui ne dépasseront pratiquement jamais 10% mais cela peut être 5 ou 6% aussi (si votre livre coute 10 euros, vous toucherez donc 0.50 à 1 euros par vente). Vous devrez évidemment déclarer vos droits d’auteur au Fisc.
Votre livre sortira en librairie pour un temps limité, le stock des invendus iront ensuite au pilon et votre livre ne sera plus accessible, sauf d’occasion. Les chiffres des ventes moyennes des livres (à part les Best Sellers), sont relativement modestes.
 Alors, schématiquement, trois cas de figure :
– Vous êtes un génie de l’écriture et/ou vous écrivez pile dans la cible de ce qui est à la mode et dans la ligne éditoriale de la maison d’édition.
Vous ferez alors partie du pourcentage infime (1 pour 1000) des auteurs inconnus publiés par des grandes maisons d’édition. Il est toutefois fortement recommandé de « connaitre » certaines personnes dans lesdites maison qui pourront donner un coup de pouce pour que votre livre soit examiné.
– Vous êtes quelqu’un de connu (chanteurs, téléréalité etc.) et de toute façon on vous publiera quitte à vous donnez un coup de main pour que votre livre soit « lisible ». Ce sera souvent un livre auto-biographique.
– Vous êtes Madame ou Monsieur tout le monde, vous ne connaissez personne dans le milieu de l’édition. Mieux vaut cibler une petite dizaine de maisons d’édition plus petites qui correspondent bien dans leurs lignes éditoriales au livre que vous avez écrit.
C’est très important de se renseigner longuement sur cette ligne éditoriale. Sinon, vous perdrez votre temps et votre argent à envoyer des manuscrits (enfin maintenant il s’agit de tapuscrits) qui ne seront peut-être même pas lus.
Là aussi, comme pour les grandes maisons, vous cèderez vos droits et vous aurez en échange des droits d’auteurs (de l’ordre de 10%).
Il faudra aussi se renseigner soigneusement sur la distribution qui sera faite de votre livre en librairie ou le référencement sur le net. Certains petits éditeurs vous accepteront peut-être plus facilement mais n’auront pas les moyens d’assurer une diffusion optimal de votre ouvrage.
Dans les deux cas, vous serez aussi mis à contribution pour faire des séances de dédicaces (10 livres vendus, 10 euros dans votre poche…). Et votre livre aura une durée de vie limitée.
3) Publier votre livre à compte d’Auteur :
Alors là, attention DANGER ! : si l’on vous demande une somme importante pour publier votre livre en l’acceptant tout de suite, surtout ne signez pas !
 Les annonces de ces maisons d’éditions à compte d’auteur fleurissent dans les magazines et autres publicités sur le net.  Non, seulement vous allez payer la fabrication de votre livre mais en même temps rémunérer celui ou celle qui prétend vous le publier.
4) Publier votre livre avec l’aide d’un éditeur « à la demande » :
Vous écrivez votre livre
Vous le proposez à l’éditeur « à la demande » qui ne fera pas de remarques sur son contenu dont vous serez responsable (sous réserves que vous ne publiez pas des écrits contraires à la loi et aux bonnes mœurs).
Là, vous gardez en général vos droits (différents contrats et prestations à bien comparer et étudier) et vous pouvez indiquer vous-même le prix de vente et donc votre marge.
L’éditeur se charge de vous attribuer un ISBN, de référencer votre livre sur différentes bases (internet, grands sites marchands etc.) et pour certains de proposer les services d’un distributeur si votre livre est commandé en librairie.
 On peut vous proposer différentes prestations payantes (relecture, aide pour le marketing qui vous choisirez si vous le souhaitez).
Vous touchez des droits d’auteur et être responsable de faire connaitre votre livre.
Avantages : vos livres ne sont imprimés que quand un client en commande un,(pas de stock, pas de gaspillage), ils sont disponibles des années si vous le souhaitez. Vous pouvez réactualiser la couverture ou faire des modifications très facilement.