devenir écrivain

Conseils personnalisés et Aide aux Auteur(e)s : c’est parti !

conseils pour votre livre

Vous écrivez ?

C’est la nouveauté de l’été ! Je lance conseils et aide aux Auteur(e)s”. J’espère que le concept pourra rendre le service le plus adapté à chacune des personnes qui en auront besoin… Le but n’est pas, comme cela se fait beaucoup maintenant sur la toile, de vendre “en automatique” des fichiers pdf ou des vidéos… Il s’agit bien de personnaliser au maximum une aide, un conseil dans une relation réelle avec un(e) auteur(e) dont le besoin est unique pour son projet de livre. Je me situe à l’opposé du buzz, du marketing tapageur qui vous matraque l’inconscient pour vous inciter à acheter. Je suis plutôt dans une optique de service en parcourant ce site.

Un Blog et des livres, toujours :

Bien évidemment, je continue le blog plus que jamais, je l’ai rapatrié sur ce site, vous retrouverez tous les articles de mon ancien blog depuis 2009. Mon activité d’auteure continue également avec la sortie d’un prochain livre cet automne. Je vais essayer de publier bien régulièrement des articles sur le blog. Quant à mon rythme de publication de deux livres par an, il sera respecté cette année !

Mais aussi des “Conseils et Aide aux Auteur(e)s” :

Découvrez toutes les prestations sur le site, en cliquant sur chacune vous aurez une description complète. Cher(e)s auteur(e)s confirmé(e)s, vous n’aurez pas besoin de mes services, normalement, mais sait-on jamais 😉 ? Je compte sur vous pour donner l’info aux débutant(e)s ou aux personnes, qui, si elles écrivent, ne maitrisent pas trop internet. Car, je m’adapte à toutes et à tous et si nous devons communiquer par courrier, ce sera possible ! C’est bien le but de ne pas s’adresser qu’aux jeunes ou aux seniors “geeks” !

Pour finir ce petit article de lancement, je voudrais remercier tous(e) ceux que j’ai pu aider par le passé et qui, grâce à leurs questions, m’ont permis de mettre au point cette activité, m’en ont donné l’idée. Sans eux, je ne serai jamais passé à l’action 😉 ! Pour tout comprendre, rendez-vous dans la rubrique “Qui suis-je ? Pourquoi ce site ?”

Je vous laisse donc découvrir le site (que j’ai fait presque toute seule, si ! si !) mais un GRAND Merci à Jean-Michel aussi 😉 !)

Et n’hésitez surtout pas à le faire connaître autour de vous !

Je veux écrire un livre : comment faire ?

philomène delavie
Je veux écrire un livre : comment faire ?
Jusqu’à présent, j’avais pour habitude de faire des articles à destination des auteur(e)s sur ce blog. Vous retrouvez ici donc de nombreux thèmes et problématiques pour l’écrivain en herbe. Il suffit en effet de taper sur la barre de recherche un mot clé : dédicace, écrire, corrections, livre, etc.
 
Au fil des rencontres que j’ai pu faire, notamment en dédicaces, je me suis aperçue que de nombreuses personnes me parlaient de projets d’écriture, elles souhaitaient écrire un livre mais le projet n’aboutissait pas pour différentes raisons.
 
En regardant sur la boutique Kindle, je me suis également rendue compte qu’il n’existait pas vraiment de guide de ce genre, à part traduit de l’américain (ce qui ne correspond pas pour les auteur(e)s français sur bien des points). Les guides existants sont surtout là pour vous parler du “top 100 d’amazon” etc.
 

Une sorte de vade-mecum :

J’ai donc eu l’idée de faire une sorte de “vade-mecum” pour aider les futur(e)s auteur(e)s à se lancer vraiment et surtout à arriver au bout de leur projet, de leur livre !
 
Il s’agit donc du tome 6 dans la collection des Indispensables de Philomène Delavie.  Il s’agit de mon pseudo sur Kindle pour traiter différents sujets en format e-book.
 
Vous retrouverez donc tous les conseils qu’il vous faut dans ce guide pratique Je veux écrire un livre : comment faire ?” . Il coûte 3.99 euros (pas besoin de tablette spécifique pour le lire, un ordinateur suffit) et est en version numérique.
 
Fruit de mon expérience de 12 ans d’écriture, ce guide est conçu “pas-à pas“. De l’idée et du genre du livre à l’édition et la commercialisation, vous serez accompagné(e), “coaché(e)” pour apprendre à écrire un livre.
 
J’ai eu beaucoup de plaisir à rédiger cet e-book, et je souhaite qu’il vous soit vraiment utile ! N’hésitez pas à mettre un commentaire sur Amazon après lecture.
 
NB : D’autres thèmes sont traités dans des e-book à 0.99 euros, il vous suffit de taper Philomène Delavie dans la barre de recherche sur Amazon.
 

 

Ecrire un livre, un Roman : le fond




entrez en soi-même…

         Nous avons parlé de la forme du roman dans des articles précédents mais il faut maintenant se pencher sur le fond :

 

Ecrire un livre, un roman : oui, mais sur quoi ?

 
          Avant de déterminer ce que vous voulez écrire, il parait déjà important de se poser la question de savoir  : Pourquoi voulez-vous le faire ?
 

  • Laisser un trace, donner un témoignage

  • Gagner de l’argent

  • Faire rêver vos enfants en leur racontant des histoires

  • Mettre en forme une histoire que vous  avez inventée

  • Vous lancer un défi

  • Donner du bonheur à vos lecteurs

  • Expliquer vos idées, développer vos théories ou opinions

  • Se dire : je suis écrivain !

 
           Il y a tellement de motivations différentes mais certaines seront les plus convaincantes. Je ne pense pas que la motivation de “gagner de l’argent” seule pourra vous permettre de mener à bien la rédaction d’un livre. Mieux vaut embaucher un nègre qui a une belle plume… 🙂
 
         Mais si la nécessité intérieure que vous sentez vous pousse à vous écrire, alors foncez !
 
Ecrire quoi ?
 
Après les genres de livres sont si divers si nous nous en arrêtons à la fiction, vous pouvez écrire :
 

  • Un roman policier

  • Un roman historique

  • Un roman sentimental

  • Un roman psychologique

  • Un roman philosophique

  • Un roman fantastique..

  • Un roman auto-biographique

  • Un roman d’aventures

  • etc.

Et encore, vous pouvez mélanger les genres, ce qui revient à une infinité de possibilité…!
 
         C’est vous et vous seul(e) qui savez ce que vous voulez faire, vous êtes la ou le seul(e) maitre à bord de votre page blanche ou de votre écran. L’idée, le genre, l’intrigue, les personnages : ce sont les vôtres ! Faites-vous confiance !
 
Un mot après l’autre :
 
          L’important est donc de s’y mettre sans attendre. Mais pourquoi tant de  personnes s’arrêtent très vite, commencent un ouvrage et ne le terminent jamais ?
 
          Il faut donc allier le plaisir de l’écriture avec la discipline de la régularité. Lorsque l’on lit ou entend le témoignage d’écrivains célèbres, on s’aperçoit qu’ils écrivaient régulièrement et nombre d’entre eux, tous les jours. Comme une artiste qui brode une étoffe sous la lampe tous les soirs, comme le jardinier qui tourne et retourne la terre, un écrivain travaille ses mots, son histoire, son roman.
 
Ecrire tous les jours :
 
            Sans vous juger mais en tirant le fil. Mais l’écriture n’est pas seulement l’acte d'”écrire“, c’est l’imagination, qui travaille tout au long du jour et de la nuit qui va vous permettre de poursuivre. Il ne faut pas croire, à part pour de rares exceptions (Amélie Nothomb ?) que les mots arriveront quand vous voudrez qu’ils arrivent à l’heure que vous avez décidée. Votre histoire, votre roman se construira surtout pendant que vous n’écrirez pas. En balade dans la forêt, dans le métro, en attendant votre tour chez le boucher, que sais-je ?
Vous ferez vivre vos personnages, vous vous inquiéterez pour eux, aurez des idées en regardant une scène de rue, en surprenant un regard ou une conversation. Autrement dit, vous vivrez votre livre avant de l’écrire.
 
          Certains recommandent de faire des fiches pour chaque personnage, des plans détaillés… D’autres, au contraire, se lancent sans filet, chacun mène son écriture à bien selon son caractère et sa manière d’être.
 
          Pour moi, je préfère de loin le plaisir de la découverte et même si j’ai une idée de ce que va devenir l’histoire, je ne fais pas de plan ou très peu. Il m’arrive quand même d’établir succinctement quelques séquences ou de faire des “arbres de personnages” quand il y en a trop et que je ne peux pas me repérer mentalement sans cette aide. Sinon, je pilote à vue, découvrant le paysage toujours nouveau.

         Et vous, comment faites-vous  ? Sur quoi écrivez-vous ?
 
 

Ternoise, l’écrivain incompris : le fond ou la forme ?



Ecrire pour les autres : Soigner le fond ou la forme ?

Je ne sais si vous avez déjà été sur une des très nombreuses pages du site de Stéphane Ternoise. Quand on s’intéresse à l’autoédition et que l’on cherche des infos sur Google on tombe forcément un jour ou l’autre sur son site.  Ternoise a une manière bien à lui de “pratiquer” internet : il y écrit, s’y référence, y vend mais ne soigne absolument pas la forme. Il faut écarquiller les yeux, (une police très petite) et on ne comprend absolument pas comment les pages sont agencées, les couvertures de ses livres semblent très originales et personnelles.

Et, cerise sur le gâteau dans les FAQ, on trouve une question genre : Vous ne pourriez pas faire un effort sur la présentation ?
et la réponse : je suis écrivain, pas webmaster, je n’ai pas de temps à passer là-dessus car mon temps est dédié à l’écriture…
Quoique, je viens de m’y rendre pour mettre le lien et j’ai l’impression que les choses se sont structurées et arrangées un peu 🙂 !
 
Amusant et décalé aussi le fait qu’il parle souvent de lui à la troisième personne… Ternoise, si tu me lis :)! un salut amical à toi !
 
N’ayant pas lu ses livres, je n’ai aucune opinion valable sur le fond de ses écrits. Simplement, je pensais à lui pour lancer cette réflexion sur la forme et le fond dans l’écriture. Nous traiterons uniquement la forme dans cet article.
 
Il est certain (sondage à l’appui) que les personnes vont acheter un livre au hasard parce que la couverture leur a plu (je crois que cela compte pour 50% dans l’acte d’achat) et que le résumé de la quatrième de couverture leur donne envie de le lire. Pour la littérature enfantine, c’est encore plus vrai.
 
Souvent, avant d’acheter un livre, un roman ou autre genre, on va le feuilleter un peu, lire le sommaire, glaner quelques lignes au hasard des pages. Il est certain que si l’on trouve une pagination approximative, une police très difficile à déchiffrer ou des fautes qui sautent aux yeux, on ne passera pas forcément à l’acte pour acheter.
 
Pour les blogs et le surf sur internet, nous sommes aussi très sensible  à l’agencement et à l’aspect général : les publicitaires l’ont bien compris qui placent leurs publicités aux endroits où la personne est la plus susceptible de porter son regard…
 
Autant dire que lorsque l’on écrit un livre et pour se donner le maximum de chance de plaire aux lecteurs sur la forme (nous verrons le fond dans un autre article) il y a quelques éléments indispensables :
 
– Utiliser une police d’écriture courante, que l’on trouve généralement dans la littérature (arial, times new roman, verdana…).
 
Se faire relire absolument : Même si l’on pense avoir une bonne orthographe et des logiciels de correction, cela n’est pas suffisant. J’avais lu quelque part qu’il faut 10 relecteurs différents pour éliminer toutes coquilles d’un texte. Sans aller jusque là, faire relire par une personne dont  c’est le métier (mais attention sur internet aux propositions  ! j’avais utilisé un jour les services d’un correcteur qui se révéla très incompétent…). Si on a les moyens, prendre une agence de relecture qui pratique la “triple correction”, ce n’est pas forcément plus cher qu’une seule personne. C’est le mieux.
Mais, pour beaucoup, ce budget relecture est beaucoup trop lourd.
J’ai remarqué, à force de chercher des correcteurs, que des personnes qui avaient pratiquement toujours “zéro faute” en dictée dans leur jeunesse et qui avaient continué à lire ou à écrire étaient très compétentes. L’orthographe, cela doit être comme le vélo, cela ne se perd pas 🙂
 
– Pour les tournures grammaticales, les incorrections de style ou les mots à changer (répétitions etc.) il faut également que vos relecteurs ou vous-même les débusquent. (il existe aussi des logiciels pour les répétitions mais pas fiable à 100%).
 
Un écrit bien présenté, sans faute (ou pratiquement) dans un style lisible pourra être proposé avantageusement à un éditeur si vous souhaitez le faire.
 
Vous pourrez aussi l’éditer par vous-même en étant sûr(e) de vous.
 
Pour la couverture :
 
– Soit vous êtes un pro de l’infographie et vous la faites vous-même.. mais c’est rare…
 
 – Soit vous êtes édité(e) par un professionnel et celui-ci s’en chargera (avec souvent la déception de ne pas aimer la couverture soi-même…).
 
– Soit vous choisissez une proposition de couverture gratuite faite par un site d’édition en ligne ou autre.
 
– Soit vous payez les services d’un professionnel en lui donnant vos idées (il faut que la couverture plaise au public mais qu’elle vous plaise aussi 🙂 !
 
– Soit quelqu’un dans votre entourage amical ou familial a ce talent (attention quand même à le vérifier…).
 
Pour la quatrième de couverture, il convient également d’y passer du temps pour être sûr(e) qu’elle reflètera l’histoire et qu’elle sera attrayante.
 
Un petit truc que j’utilise moi-même pour les couvertures (que je fais concevoir en donnant moi-même le schéma)  : j’effectue des sondages sur une bonne vingtaine de personnes dans la cible des futurs lecteurs (qui sont souvent des lectrices:)! : Cela me donne des indications précieuses. Et en général, sur 6 ou 7 modèles différents proposés, une majorité désigne le modèle le plus tendance. J’aurai souvent été incapable de le percevoir moi-même.
 
En conclusion, la forme est essentielle dans le projet d’écriture, sans la forme, le fond ne sera , en général, pas compris, pas lu, pas aimé.
 
Nous verrons bientôt comment donner du fond à son écriture :)!

J.K. Rowling a-t-elle pris des cours pour devenir écrivain ?

Harry Potter, JK Rowling - 7 livres, 8 films... et des millions de ...


Le titre de cet article, un rien provocateur,  voudrait lancer le débat :

Faut-il faire des ateliers d’écriture, des cours, des exercices sous quelque forme que ce soit pour écrire un livre à succès ?

L’exemple de la célèbre romancière de Harry Potter au 450 millions de livres vendus prouvent que non. Mais on pourrait citer mille et un noms d’écrivain(e)s dans son cas. Ecrire, c’est d’abord une passion.
 
Il faut apprendre à lire et à écrire mais ensuite, tout est possible. On entend souvent dire quand même que les écrivains lisent beaucoup eux-mêmes, qu’ils ont de l’imagination, qu’ils ont très observateurs… (Bon, je mets tout au masculin mais j’inclus évidemment les femmes écrivains).
 
Et vous, qu’en pensez-vous vous ? Quand vous voyez certaines personnes qui vous promettent de vous former à l’écriture de telle façon que vous soyez capable ensuite de rédiger un ouvrage comment réagissez-vous ?
 
Pour moi, lorsque j’ai commencé à écrire, je n’avais absolument pas eu l’idée que je devais “apprendre” avant… Et je suis toujours étonnée de voir combien les “ateliers d’écriture” fleurissent ça et là ainsi que les “coachs” et autres formateurs qui vous promettent de vous apprendre à écrire des romans.
 
Ecrire dans la solitude ou partager ses mots ?
 
Le travail d’écriture, c’est une tâche solitaire bien que très “reliée” au monde.
 
Pourtant des personnes aiment beaucoup participer à des ateliers d’écriture. Cela doit dépendre vraiment des caractères de chacun. Être seul(e) face à sa feuille, son cahier ou son ordinateur peut être trop angoissant ? ou inhibant ?
 
Il est certain que lorsque l’on est pas du tout à l’aise avec les mots ou l’écrit, le travail de groupe est un support très intéressant pour “accoucher” de ce que l’on a l’intérieur de soi mais n’est-ce pas plus de l’ordre d’une thérapie ou d’un apprentissage ? 
 
Ecrire sans filet :
 
Vous avez décidé d’écrire, vous avez une idée ?
 
Lancez-vous !  seul(e), sans filet, vous ne risquez rien… rien du tout. Sauf peut-être de vous découvrir un nouveau talent :),  de vous accomplir 
 
ou, bien vite, vous rendre compte que ce n’est pas votre truc… 
 
Car évidemment cette passion est exigeante : il faut de la persévérance, du “travail”, l’écrivain ne s’amuse pas tous les jours, il y a des moments difficiles, plus arides…  Mais si le plaisir et le besoin d’écrire ne vous lâchent pas… et bien poursuivez, allez au bout de votre histoire.
 
Vous verrez bien ensuite quoi en faire et nous en parlerons lors de prochains articles.