de toutes les matières de calage, c’est la ouatbox que j’préfère !
Ecologique, légère et pas cher, c’est le meilleur choix !
C’est vrai que j’aime bien cette chanson chantée par Caroline Loeb en 1986 et elle m’est venue à la tête tandis que je découvrais le site de BLOCBOX : https://www/blocbox.fr
Pour envoyer mes livres et mes bougies décoratives artisanales, je cherchais une solution de calage écologique et recyclable et puis… si je pouvais trouver quelque chose de joli et de doux en plus ! BINGO ! C’est une entreprise française, dans le 64, qui a mis au point cette matière. Evidemment, vous pouvez aller vous renseigner sur leur site : il y a deux qualités : Blocbox et Ouatbox.
Fabriquée en France, c’est une solution de calage innovante universelle
C’est en fait un mélange de coton, chanvre, lin et laine. Un calage simple d’utilisation, qui s’adapte à toutes les situations et, en plus, qui fait gagner du temps ! (pas besoin d’ajuster le papier froissé !). Pour mes coffrets cadeaux, je ne voulais pas mettre de plastique évidemment, pas de bulles ou autres poly… je ne sais quoi… mais le papier froissé, je trouvais cela inesthétique au possible 🙂 ! le Blocbox, cela a une autre allure 🙂 !
Une super innovation pour la logistique et l’envoi de colis !
Vous l’aurez compris, je suis fan de « C’est la Ouate » mais aussi de Blocbox ! L’essayer… c’est l’adopter ! Et non, je vous promets ! Je n’ai pas d’actions dans la société ! Je suis juste contente d’avoir trouvé mon bonheur ! Le directeur Commercial m’a assuré qu’ils livraient partout en France et dans quelques pays limitrophes, du coup, je rêve que mon Editeur BoD, basé à Hambourg, se mette aussi au Blocbox ! Recevoir des colis avec ce mélange tout doux recyclable (comme les textiles, en fait) c’est génial ! Le papier froissé, c’est assez moche et on ne peut rien en faire… Tandis que la Blocbox, on trouve cette matière tellement bien niveau planète et texture qu’on la garde pour la réutiliser quand on enverra des chocolats à Mamie ou un vase de Sèvres à Tonton et Tatan 🙂 ! ça cale bien, cette matière ! Un petit film paraîtra prochainement sur leur chaine Youtube, je vous le mettrai ici.
Je m’arrête, Artisant(e)s et Commerçant(e)s de France et de Navarre, qui voulez être attentif(e)s à la Planète mais aussi envoyer vos objets à vos client(e)s sans casse, rejoignez les fans de la Blocbox ! Je laisserai le service commercial vous expliquer plus avant comment vous procurer la Matière Blocbox ! Ils/elles sont très sympas en plus, ce qui ne gâte rien : la texture de leur matière innovante a déteint sur l’ambiance de la boite 🙂 bon, je m’égare…. 🙂 Et OUI 🙂 ! Avec mon titre, je vous ai remis dans la tête la chanson de Caroline Loeb pour la journée… Désolée 🙂 ! Puisque vous êtes sur cet article, n’hésitez pas à jeter un coup d’oeil sur mon site, un peu de lecture ou de déco... des cadeaux à faire ? En avant : tous sur le site d’ www.isabelledesbenoit.fr !
Une petite édition nouvelle en ce début 2021 en attendant la parution du nouveau BERTILLE en mars 2021 ! SEMAINIER JOURNAL PERPETUEL pour MAMIE et PAPY : un beau cadeau personnalisé à leur faire !
Il s’agit de semainiers journaux perpétuels : vous pouvez en avoir un aperçu sur le site de vente : Amazon Kindle sous le pseudo de Sybille Côme.
Semainier Journal où Mamie ou Papy peut noter le temps, les anniversaires et les fêtes, ses activités, les visites, téléphones ou visios qu’il a reçus. Le dimanche, les courses ou autres notes sont possibles. Agenda perpétuel agencé de manière claire et lisible. Un cahier journal que Mamie ou Papy sera très content d’avoir pour structurer son temps et ses journées. Ce carnet sera aussi une mémoire précieuse pour lui. À offrir en toutes occasions, ce cadeau lui fera très plaisir : vous pourrez noter un petit mot au début du semainier avant de lui remettre. Votre affection l’accompagnera ainsi chaque fois qu’il l’ouvrira…
et le dernier pour les ANIMATRICES de résidences pour personnes âgées, maisons de retraite ou EHPAD : cliquez ICI
Semainier Journal pour résidence de personnes âgées ou EHPAD, CANTOU… semainier perpétuel sur 53 semaines que l’on commence à tout moment de l’année. On note le temps, les repas, les activités, la chanson du jour, les souvenirs ou les lectures. Le dimanche possibilité d’écrire un texte : poème, récit fait par les résidentes et les résidents, projets communs ou récits d’évènements marquants. Un précieux journal pour toute la résidence avec une couverture attrayante et une présentation aérée, lisible et simple. Aide pour la mémoire, pour se situer dans le temps. Indispensable pour les EHPADs ou résidences mais aussi foyers logements avec animation, foyers ADAPEI ou Autres structures.
Après BERTILLE, les lilas ont fleuri l’année dernière (tous peuvent être lus indépendamment), j’ai le plaisir de pouvoir publier ce nouveau Livre : BERTILLE, les Candélabres en Porphyre. Les retours très chaleureux de mes lectrices et lecteurs de l’année dernière m’ont donnée des ailes pour continuer à faire vivre BERTILLE 🙂 ! Donc, soyez remercié(e)s toutes et tous qui lisez ma petite littérature ! Toujours chez BoD éditeur. À commander en priorité directement surla librairie de l’éditeur pour me soutenir et soutenir mon éditeur.
Mais disponible aussi dans sur toutes les autres plateformes : Amazon, Fnac, Decitre etc. ET AUSSI, dès la fin du confinement, précipitez-vous chez votre libraire indépendant pour lui commander ! Ainsi, vous lui permettrez de recommencer à travailler et donc, vous le soutiendrez. Il ou elle va en avoir bien besoin. En attendant, pour l’avoir très vite (en format lettre par la poste, donc cela ne dérange pas les services m’a dit ma factrice) commandez le sur le site de mon Editeur : vous le recevrez dans quelques jours. Ou bien lisez-le en avant première en e-book à prix mini. spécial confinement.
Voici la quatrième de couverture :
Oui, il y a de la vie dans ce livre : BERTILLE, les candélabres en Porphyre et du suspense 🙂 ! Voici le témoignage d’une lectrice de 75 ans qui a lu le livre en avant-première : » J’attends toujours les livres d’Isabelle Desbenoit avec impatience, j’y trouve de la distraction, je voyage et vis des aventures que je ne pourrai plus vivre en réalité. Ce deuxième tome m’a enchantée ! «
PS : les porte-manteaux sont un artefact du thème : mes excuses !
Ma petite contribution pendant cette crise du coronavirus :
Tous mes livres en e-books prix spécial confinement adultes et enfants sont à prix mini en e-books pendant le confinement et jusqu’au 30 avril 2020. Choisissez parmi mes 15 livres !
1.99 euros seulement l’e-book roman et 0.99 euros pour la Trilogie Aventures Farid pour les enfants et ados 9-14 ans
distrayants, positifs et qui vous font visiter et voyager sans quitter votre domicile (restez chez vous ! ) Rendez-vous sur la librairie en ligne de mon éditeur pour choisir votre livre (aperçu disponible), large choix qui fait la part belle aux retraitées et retraités : vers la librairie BoD cliquez ! et choisissez !
Les livres PAPIERS sont disponibles AUSSI pendant le temps du confinement
vous pouvez les commander sur le site de l’éditeur directement pour les recevoir sans tarder. Pour les e-books, vous pouvez les commander sur le site de l’éditeur mais aussi sur toutes les plateformes : Amazon, Decitre, Fnac etc.
Vous aimez lire, vous voulez vous détendre. Des romans vivants, du suspense, des sentiments, des découvertes, des voyages . Des héros et héroïnes qui vous ressemblent…
La série « La villa aux oiseaux » en 4 tomes mais qui peuvent être lu indépendamment. Celle de « BERTILLE« , deux recueils de nouvelles qui mettent en valeur le positif de la vie, un thriller religieux, un roman de spiritualité, il y a un large choix… Et pour les enfants (9-14 ans) une trilogie Aventures FARID, la Trilogie avec une bande d’ados : à fond le suspense tout en voyageant et en apprenant plein de choses ! Bonne lecture DETENTE à toutes et à tous dans la sérénité ! Se confiner oui : mais lire et se faire plaisir en s’évadant dans une lecture romanesque AUSSI ! Les bienfaits de la lecture sur la santé sont là : ne nous privons surtout pas de ce plaisir si relaxant !
PS : les porte-manteaux sont un artefact du thème du site : mes excuses !
Bertille les lilas ont fleuri par Isabelle Desbenoit
Et OUI ! Une nouvelle série après le succès de celle de La Villa aux Oiseaux Le tome 1 de BERTILLE est tout juste paru chez BoD en ce mois de mars 2019. Vous le trouverez donc facilement en librairie (distribution SODIS, base Dilicom) ou sur les sites marchands sur internet : BoD,Amazon, Fnac, Decitre etc. Bertille les lilas ont fleuri existe aussi en version e-book.
Une héroïne attachante et dynamique, retraitée, elle vous donnera envie de la suivre dans ce qu’elle vit…
La peinture de couverture a été réalisée par l’illustrateur Neil Wilson et je trouve qu’il a parfaitement donné vie à Bertille comme je l’imaginais 🙂 ! Elle est belle n’est-ce pas ? Elle semble si vivante ! Bravo à lui pour ce beau travail !
Actualité : Dédicace pour BERTILLE (et les autres livres) le dimanche 15 septembre 2019 de 10 à 12 heures à la librairie BALLANSAT à Renaison (42)
C’est vrai, j’ai bon espoir que cette nouvelle série plaise à mes lectrices et mes lecteurs et à celles et ceux qui découvriront ce livre sans avoir lu mes autres livres ! Pourquoi ? Parce que beaucoup pourront s’identifier à mon héroïne et à son cher mari, Jean-Baptiste. S’identifier mais, en même temps, partir avec eux dans des aventures, vivre des émotions qu’ils ou elles n’auraient jamais imaginés… Bref de l’évasion sans oublier la beauté des petites choses du quotidien. En conséquence, j’ai hâte d’avoir vos retours de lecture 🙂 ! Surtout n’hésitez pas à m’en faire part par le canal qui vous sera le plus facile : commentaires sur ce site, mails etc. Bertille, elle aussi , sera heureuse de savoir comment vous la percevez 🙂 ! Et peut-être vos retours pourront lui être utile pour la suite 🙂 ! On ne sait jamais, Bertille est très à l’écoute de vos désirs !
Merci beaucoup pour l’accueil chaleureux que vous ferez à BERTILLE !Très bonne lecture donc et à bientôt !
Etre Auteur(e) de livres aujourd’hui, c’est pouvoir intégrer la « nouvelle donne » du XXI ième siècle : surproduction papier et numérique : 221 livres ont été publiés par JOUR en 2017. Intégrer également la baisse globale des ventes de livres avec de moins en moins de personnes qui lisent des ouvrages. Il y a dix ans déjà 7 Français sur 10 ne lisaient jamais de livres. Je parie que nous pouvons maintenant dire 8 sur 10…
De plus en plus d’auteur(e)s…
Dans le même temps, de plus en plus de personnes se lancent dans l’écriture et surtout dans la publication. Avec les systèmes d’auto-édition, c’est à la portée de tout le monde et cela ne coûte rien. Ne parlons pas des commerçants dit » à compte d’auteur » qui ne sont pas des éditeurs proprement dit mais des imprimeurs et vendeur(e)s de service. Il est conseillé d’éviter au maximum cette solution. Il y a néanmoins quelques comptes d’auteur(e)s qui peuvent être valables mais c’est une infime minorité. De plus, pour moi, cela est réservé à des auteur(e)s étant dans des conditions particulières. Quant aux « vrai(e)s éditeurs, » (les grandes maisons ), ils publient à tour de bras et les ouvrages (à part les best-sellers) ne font qu’un petit tour de quelques semaines en librairie puisqu’il faut bien faire de la place aux livres qui arrivent : 221 livres par jour en nouveauté !
Auteur(e) envers et contre tout ?
Alors une autrice ou un auteur doit-elle/il se décourager et renoncer à publier son livre ? Bien sûr que NON ! Il faut simplement être conscient(e) du marché où l’on s’engage. C’est un marché qui surproduit. Il faut savoir que les tirages de l’auto-édition bien menée avec un livre « professionnel » : absence de « fautes », grammaire et style lisible, intérêt… sont grosso modo les mêmes qu’en édition traditionnelle. Autour de 500/600 exemplaires. C’est évidemment une moyenne évidemment.
Un livre publiable et lisible
S’il est de qualité, quel que soit le genre de votre livre, il pourra trouver des lectrices et des lecteurs qui l’apprécieront. Si vous avez besoin d’aide pour les différentes étapes de la confection de votre livre et son type d’édition, je suis là effectivement 🙂 ! Vous avez sur ce site toutes les indications sur ce que je peux ou ne pas faire pour vous aider. N’hésitez pas à me contacter au besoin, chaque livre, chaque auteur(e) a besoin d’un service « à la carte » car elle ou il est unique et son ouvrage aussi. Vous trouverez mes coordonnées dans les mentions légales de ce site. (en bas à droite)
Promouvoir et faire connaitre son livre
Je vous aiderai en amont, à relire, à corriger et mettre en forme votre ouvrage et, ensuite, à choisir votre mode d’édition. Pas de découragement, il existera toujours une solution ! Et quelle fierté ! Quel accomplissement de tenir en main votre livre ou de le vendre en e-book 🙂 , de pouvoir le dédicacer à celles et ceux qui vous sont cher(e)s mais aussi à de parfaits inconnu(e)s 🙂 !
Pour ce qui est de l’aide pour les vendre, je peux assurer un coaching personnalisé « à la carte » en fonction de vos demandes. Je n’assure ce service que pour les client(e)s qui ont bénéficié de mes prestations de relecture et de correction.
Il y a longtemps que je n’ai pas écrit d’articles et en lisant que Samantha Bailly préconisait de « limiter la surproduction de livres », je me suis dit qu’il y avait matière à en écrire un petit !
Le constat d’abord : il sort plus de 220 livres PAR JOUR ! C’est un chiffre colossal qui fait dire à certains qu’il y a « surproduction ».
Les conséquences sont nombreuses :
Les livres, hors best-sellers, font un petit tour de quelques semaines seulement en librairie car il faut laisser la place aux nouveaux arrivants. La durée de vie d’un livre (à compte d’éditeur ) est bien raccourcie, donc ainsi que son tirage. Le pilon (30% des livres) fonctionne à plein régime en attendant que la chaîne du livre se réforme et que l’impression à la demande soit la norme.
Entre parenthèses, pas pour mes propres livres qui vieilliront avec moi et que tout le monde peut se procurer même si cela fait dix ans que je les ai écrits pour certains… (vous les avez à droite de cet article).
Paradoxalement, les auteur(e)s à compte d’éditeur (je précise bien) écrivent à marche forcée pour pouvoir vivre de leurs droits d’auteur(e)s (auteur(e) s jeunesse etc.). Il faut écrire et vite et toujours plus !
En fait, « surproduction », cela veut dire que l’on produit beaucoup de nouveaux livres parce que surproduction cela ne veut rien dire en soi (par rapport à quoi ?) Cela veut dire que, par rapport à il y a un certain nombre d’années, la production de nouveaux livres s’est beaucoup accrue.
Et puis, il y a tous ces auto-édité(e)s qui publient de plus en plus car maintenant, ce qui a changé, c’est que n’importe qui peut publier lui-même, gratuitement ou à très faible coût sa prose sans la validation d’un « éditeur ». (Je ne parle pas ici des « comptes d’auteur(e)s », bien sûr qui n’en sont pas).
elle n’est plus réservée à une élite lettrée et triée sur le volet suivant des critères allant de la notoriété, au réel talent ou au genre masculin.
Comme n’importe qui peut prendre un pinceau, peindre un tableau et le mettre en vente sur internet, n’importe qui de la personne dyslexique à l’ado en troisième en passant par la technicienne de surface qui a arrêté ses études en cinquième et qui a du mal avec la grammaire et l’orthographe : tout le monde peut publier un livre.
Après effectivement, le fait d’être lu(e) est un autre problème…
Que penser de cet accès à toutes et à tous au fait de pouvoir proposer un livre, le sien, à la vente ou à la lecture sur des sites spécialisés ?
Et bien, j’en suis absolument RAVIE, la culture est le lieu où l’on s’humanise, où l’on se dit ou l’on se réalise, où l’on se sauve pour beaucoup !
Comment ne pas se réjouir que des jeunes de banlieue se mettent à écrire (alors que seul le « rap » leur était accessible) pour publier leurs livres, leurs mots…
Comment ne pas être heureux de voir cette octogénaire qui écrit sa vie pour que sa descendance ait une trace de son histoire ?
Les femmes, qui ont été et sont toujours discriminées dans le milieu du livre, peuvent écrire et publier ce qu’elles souhaitent sans que leur genre les limitent dans leur envie.
Il ne vient l’idée de personnes de dire :
il y a surproduction de sculptures, de pull fait mains, d’objets tournés en bois, de peintures à l’huile, de macramé ?
Aussi, dire « il faut réduire la production de livres » revient bel et bien à dire : nous voulons rester une élite « d’écrivains » et c’est pour moi extrêmement choquant. Peut-être que Samantha disait cela parce qu’elle se sentait pressurisée en devant « écrire, écrire, écrire… » toujours plus pour s’en sortir financièrement. Dans ce sens-là, je le comprends très bien.
Dans ce cas-là, elle s’autoédite et fixe elle-même sa marge au lieu de dépendre d’éditeur(e)s qui effectivement lui demande de produire en ne lui donnant que des miettes. Personne ne l’oblige à se faire éditer en ne touchant que 8 ou 10 % avec, vu la production massive de livres, des tirages de plus en plus faibles (en moyenne 500 exemplaires).
Faut-il limiter la « surproduction » de livres ?
Non, vraiment, c’est GÉNIAL que les gens écrivent : tous les gens, les riches, les pauvres, ceux qui n’ont même pas le certificat d’études ou le BEPC et ceux qui ont un doctorat et qui publient leur thèse…
Vive l’écriture, vive les auteur(e)s et plutôt que de déplorer l’illisibilité de certains textes, soyons des lecteur(e)s constructif(e)s, exigeant(e)s et bienveillant(e)s. Plongeons avec délice dans cette caverne d’Ali Baba des livres proposés, lisons des extraits, commentons nos lectures, parlons-en avec d’autres lectrices et lecteurs.
Combien j’ai été surprise que des textes, un peu écrits en « langage parlé », avec des fautes, sans du tout de valeur « littéraire » ni forcément du point de vue de l’intrigue, plaisent à certain(e)s ! Les goûts et les couleurs… Gardons-nous de nos jugements qui ne sont que les nôtres, en fait… Sur nos critères à nous qui ne sont pas ceux des autres…
— Non, mais tu sais, moi, c’est fini, mon café, je l’achète avec le commerce équitable : je préfère mettre 3 euros de plus et savoir qu’en famille en Bolivie va pouvoir manger et vivre correctement à cause de moi. Je crois qu’à un certain moment, il faut faire des choix. Je boycotte aussi les magasins de vêtements qui exploitent des travailleur(e)s dans des pays pauvres.
— Et tes livres, tu les achètes où ?
— Sur Amazon bien sûr, il n’y a pas de frais de port ! Je vais voir chez mon libraire du coin, je feuillette et puis, rentré chez moi, je commande ce que j’ai repéré en ligne…
Cherchez l’erreur… !
Moi qui suis auteure, j’ai malheureusement souvent rencontré cette situation : je discute avec une petite libraire sympa et passionnée chez qui je fais une dédicace et qui va devoir mettre la clé sous la porte faute de rentabilité suffisante, elle ne se paie plus depuis 2 ans et cela devient impossible, elle a une famille à nourrir.
Il faut savoir que les librairies indépendantes sont statistiquement les commerces les moins rentables (avant-dernier avant les merceries !) . Cela n’a rien à voir avec les commerces de lunettes, par exemple, qui sont tout en haut de la liste.
D’un autre côté, j’entends des auteur(e)s qui se plaignent de n’avoir que des miettes de droit d’auteur(e)s àcondition qu’onleur verse ! 5% au maxi 10% alors que c’est elles et eux qui ont écrit le livre. Quand on sait que les tirages moyens sont de 500 ou 600 exemplaires… Attention, je ne dis pas les ventes !! Car, on aura, avec le ballet des « offices, » au moins 30% de pilon … La surproduction est là : 200 livres sortent PAR JOUR (sans compter les autoédité(e)s !!) autant dire que l’auteur(e) travaille pour la gloire…
Je réponds à cet ami qui me parle de son café équitable bolivien :
— Tu sais, tu peux aussi avoir un comportement « équitable » pour une famille de libraire français ! Et si tu tiens absolument à acheter en ligne, il y a nombre de sites de libraires indépendants chez qui tu peux le faire. https://www.librairiesindependantes.com/ par exemple, mais il y en a d’autres ! Seulement, oui, tu vas payer 3 euros de frais de port… Comme pour ton café … et tu paieras aussi la famille de postier(e) ou livreur(e) qui fera le travail de transport du livre… Aider une famille bolivienne avec un logo « commerce équitable », cela te parait juste mais une famille française de libraires ! Cela fait quand même moins « équitable » et pourtant c’est exactement la même chose. Tu noteras que ni le café, ni le livre ne sont indispensables à la vie, mais ce sont des petits plaisirs tellement vitaux en même temps !
Veux-tu que les libraires des petites villes ou des quartiers disparaissent tous ? Remplacé(e)s par des chaines de vêtements à bas coûts fabriqués par des enfants ou des travailleur(e)s exploités ?
Alors, ce serait quoi alors une librairie équitable et bio ?
Une librairie où chacun gagne son pain, où le bilan carbone (logistique des livres, pilon) serait réduit au minimum… Pourquoi pas une impression sur place avec du papier recyclé qui n’abat pas les arbres de la forêt amazonienne ? Avec un bon stock dans les rayons évidemment… Sinon, ce ne serait plus une librairie !
Cela donnerait donc un prix du livre qui se répartirait équitablement entre l’auteur(e) (30%), le libraire (30%) et l’éditeur (20%), le restant allant à l’achat de la machine à imprimer qui est très onéreuse. Il peut aussi ne pas y avoir d’éditeur du tout car l’auto-édition serait également bien présente dans les rayons… à égalité avec les livres d’éditeurs : des livres choisis avec soin par le libraire dont c’est le métier. On proposerait au personnel du distributeur de se reconvertir dans l’entretien des machines ou leur fabrication … On garderait la diffusion et un petit nombre de « repré » qui seraient directement employé(e)s par un groupe d’éditeurs, réduisant les coûts.
Un lieu de rencontres et d’échanges conviviaux, avec des dédicaces, des rencontres. Et, comme pour les restaurants solidaires, non pas un frigo de nourriture donnée, mais une étagère réservée aux livres gratuits où les clients apporteraient ceux qu’ils ont envie de donner pour les personnes qui n’ont pas le budget pour en acheter…
On pourrait même peut-être y boire un café équitable de Bolivie 😉 ? Pourquoi pas ?
LA VILLA AUX OISEAUX PARUTION EN GROS CARACTERES :
J’ai le plaisir de vous annoncer la parution d’une nouvelle édition de La Villa aux Oiseaux,(l’édition chez BoD est toujours disponible bien sûr !) aux Editions Encre Bleue Large Vision en gros caractères. Vous pouvez l’acheter directement sur le site de la maison d’édition sur internet :https://www.largevision.fr/ ou le commander en librairie ou encore demander à votre bibliothèque de le commander. En effet, cette édition en gros caractères pour les personnes malvoyantes ou qui aiment avoir un confort de lecture est destinée en grande partie aux bibliothèques. En fait, elles ont toutes un rayon « Large Vision/ GROS CARACTERES ».
Sur le site de l’éditeur vous pouvez même lire un extrait 🙂 Profitez-en ! Vous avez reconnu la Villa aux Oiseaux sur la couverture, elle est belle la maison du faubourg 🙂 !
J’avoue que j’aime bien lire moi-même des romans « en gros caractères » et nous sommes nombreux(e) à le faire même si nous n’avons pas de souci de vision. C’est un confort de lecture et cela évite de mettre ses lunettes !
EDITION ENCRE BLEUE LARGE VISION :
Cette maison d’édition est une spécialiste des livres en gros caractères, c’est une des pionnières en la matière, elle possède un large catalogue de livres en gros caractères : n’hésitez pas à regarder les autres titres du catalogue : https://www.largevision.fr/
UNE EDITION POUR LES BIBLIOTHEQUES :
Si vous souhaitez que mon roman puisse être lu largement par un public varié, je vous propose de mettre ce titre dans le cahier de demandes de commandes de votre Bibliothèque municipale, de village ou de quartier. Donc, il suffit d’inscrire le titre « La Villa aux Oiseaux, Isabelle Desbenoit, 2018, éditions Encre Bleue Large Vision ».
Merci donc à vous de parler à votre bibliothécaire de cette parution pour alimenter ainsi le rayon « Gros caractères, Large Vision » et bonne lecture élargie 🙂 !
Les héros retraités du Faubourg Mulsant vont vous faire vivre encore de beaux moments d’évasion et vous allez découvrir ou (re) découvrir la région roannaise et même un peu plus loin…
A découvrir en libraire (Distribution Sodis, base Dilicom) ou sur internet (en e-book ou version papier) sur tous les sites marchands de livres. Promotion pendant 8 semaines : l’e-book est à 0.99 euros !
Voici la quatrième de couverture :
Vous retrouverez évidemment aussi bien en librairie ou sur internet les trois premiers tomes :
La Villa aux Oiseaux (Tome 1)
Croisière sur le Queen Mary II (Tome 2)
New York, en souvenir d’Emile (Tome 3)
DEDICACES EN Roannais :
Vendredi 27 avril 2018 16h-18h,LIBRAIRIE MAYOL, 12 rue Charles de Gaulle, 42300 ROANNE
Samedi 28 Avril 2018 14h30 -18h,LIBRAIRIE FORUM MIROSE, 3 rue Charles de Gaulle, 42300 ROANNE
Dimanche 29 Avril 2018 10h – 12h, LIBRAIRIE BALLANSAT, 69 rue de Gruyères, 42 370 RENAISON
Bonne lecture ! Vous allez savoir comment tout cela se termine ! Suspense 🙂 !
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